Tartas
Grâce à une aide financière de l'État d'un euro par hectare, débloquée par l'Union landaise DFCI, l'ouverture de plusieurs kilomètres de pistes a pu être entreprise avec l'appui d'un abatteur de Biscarrosse et de son redoutable engin, baptisé « tête d'abattage », qui se loue la bagatelle de 120 euros de l'heure. Il n'est resté que quatre jours et demi sur Tartas mais, guidé par trois bénévoles que Bernard Bats n'a pas manqué de remercier, son passage a permis de libérer les accès stratégiques et, notamment, les liaisons intercommunales avec Souprosse, Meilhan et Carcarès-Sainte-Croix.
L'accès aux deux points d'eau, dits de Farschon et Gaüzère, a également été réalisé alors que, de leur côté, les employés communaux ont fait du bon travail, notamment sur certains chemins empierrés. Sur un plan général, l'exonération des taxes foncières pour 2009 semble acquise ainsi que le déclassement en « landes » de 3e catégorie, des parcelles ravagées.
Puis, lorsqu'il s'est agi d'évoquer la stratégie à adopter concernant la vente des chablis, Bernard Bats a ordonné le huis clos. Mais à voir les mines dubitatives des participants à la sortie de la réunion, on peut affirmer qu'aucune bonne nouvelle n'a été annoncée. Les temps devraient pourtant être à la solidarité.